PARTIE DE SOULEY
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PARTIE DE SOULEY
Le droit de la publicité en matière automobile :
Voilà ce que dit le droit concernant la publicité automobile :
Arrêté du 28 juin 2000 relatif à l’information des consommateurs et à la publicité des prix des véhicules automobiles.
Selon le premier Article : - Les dispositions du présent arrêté s’appliquent aux véhicules automobiles neufs d’un poids total autorisé en charge ne dépassant pas 3,5 tonnes.
Art. 2. - Toute publicité comportant l’indication du prix de vente d’un véhicule, qu’elle soit effectuée sur les lieux de vente ou à l’extérieur des lieux de vente, doit mentionner la dénomination de vente du véhicule dans les conditions prévues à l’article 2 du décret du 4 octobre 1978 modifié susvisé.
Le prix annoncé des véhicules neufs hors options doit correspondre, quel que soit le support utilisé, à la somme totale toutes taxes comprises qui devra être effectivement payée par le consommateur, y compris les frais de préparation du véhicule.
Toute publicité effectuée par voie d’exposition ou de représentation d’un véhicule et accompagnée d’un prix doit indiquer le prix toutes taxes et frais de préparation compris correspondant au véhicule exposé ou représenté.
La publicité sur les prix des véhicules automobiles neufs est considérée comme satisfaisant aux dispositions de l’article L. 121-1 du code de la consommation si le prix visé au présent article est garanti hors taxe au minimum pour les trois mois à compter de la commande.
Art. 3. - Avant tout accord sur une offre, le vendeur doit remettre à l’acheteur un document d’information comportant les indications visées à l’article précédent, complétées par la date limite de livraison.
Au prix visé à l’article 2, peuvent être ajoutés les frais facultatifs correspondant à des prestations particulières expressément demandées par le consommateur et dont le montant a fait l’objet d’un accord préalable.
Le bon de commande peut tenir lieu de ce document s’il contient les indications visées ci-dessus. Il peut porter également la date à partir de laquelle l’acheteur accepte de prendre livraison.
Art. 4. - Le prix déterminé au moment de la commande est garanti jusqu’à l’expiration du délai contractuel de livraison Si la livraison n’a pas été effectuée dans le délai prévu et si le retard n’est pas imputable à l’acheteur, la garantie de prix sera prolongée jusqu’à la mise à disposition du véhicule.
Cette garantie de prix ne s’applique qu’au modèle et à la version ou déclinaison décrits par la publicité ou mentionnés sur les bons de commande ou autres documents de vente.
Le vendeur ne peut s’exonérer de cette garantie sauf :
Si l’acheteur a expressément stipulé refuser la livraison avant trois mois ;
Si une nouvelle réglementation impose des modifications techniques.
La date limite de livraison est réputée non stipulée si elle ne mentionne pas le mois de mise à disposition du véhicule. En l’absence de date précise, le véhicule est réputé devoir être livré au plus tard le quinzième jour ouvré du mois mentionné dans le document de vente.
Art. 5. - Les bons de commande ou autres documents de vente doivent indiquer :
La dénomination de vente et le prix visés à l’article 2 ;
Les équipements commandés en option et leur prix ainsi que, le cas échéant, les éventuelles prestations facultatives visées à l’article 3 et leur prix ;
La date limite de livraison visée à l’article 4 ;
La faculté pour le client d’annuler sa commande et d’exiger le remboursement des versements déjà effectués, majorés des intérêts calculés au taux légal, dans les conditions de l’article L. 114-1 du code de la consommation, si le vendeur ne peut mettre à la disposition de l’acheteur, dans les délais convenus, un véhicule tel que décrit sur le bon de commande.
Faire de l'affichage publicitaire sur des voitures, combien ça coûte ?
Aujourd’hui on constate que de plus en plus de personne affichent des publicités sur les flancs de leurs véhicule, en effet cela est devenu une tendance, et un phénomène qui se propage de plus en plus cette technique publicitaire attire l'œil et n'est pas si cher qu'on pourrait le penser. Mais cette démarche c’est le propriétaire qui la prend en effet il n’a plus besoin de passer par un constructeur automobile des sociétés se sont spécialisés dans ce domaine et le propriétaire du véhicule rentre en contact directement avec ces dernières.
Le procédé est simple : des sociétés spécialisées vont jouer le rôle d’intermédiaires entre l'annonceur et les particuliers qui sont rémunérés et qui conduiront leur propre véhicule ou le loueront au prestataire. Des adhésifs aux couleurs de l'annonceur vont habiller les portières et les faces avant et arrière des véhicules pendant la durée de la campagne. Mais quel est réellement l’avantage de cette publicité mobile ?
Les Avantages de ce média mobile : un ciblage géographique précis, un fort impact visuel et un bon taux de mémorisation.
Pour moins de 3 000 euros : le street-marketing
Réalisable partout, le street-marketing consiste à faire circuler une ou plusieurs voitures « adhésives » (voitures de collection ou autres, choisies par l'annonceur et louées par le prestataire) accompagnées d'hôtesses ou de stewards. Un plan de route prévoit des arrêts stratégiques avec distribution de tracts et animations.
Le détail des tarifs. On peut compter, pour une voiture et une hôtesse, de 1 200 à 1 500 euros la journée chez Upskin, 1 460 euros le premier jour puis 600 euros les suivants chez Movin'Pub, ou 3 000 euros pour deux jours avec deux hôtesses, en prix d'appel, chez Carlogo. (Ce sont toutes les 3 des sociétés spécialisés)
Pour moins de 7 000 euros : une campagne d'un mois sur des lunettes arrière
La société AutocreA, à Rouen, s'est spécialisée dans la pose d'adhésifs sur les lunettes arrière des voitures. L'opération est réalisable partout en France.
Le détail des tarifs de 200 à 230 euros par véhicule pour un mois (au minimum). Et de 6 000 à 6 900 euros par mois pour une flotte de trente voitures.
De 8 000 à 50 000 euros et plus : une campagne d'un mois sur des flottes importantes. La durée minimale d'une campagne sur une flotte conséquente (100 voitures à Paris) est d'un mois pour un impact satisfaisant. Le prix dépend du format d'affichage et du nombre de véhicules. Il comprend les frais techniques (fabrication, pose et dépose des adhésifs), un bilan d'action avec reportage photo, la rémunération du prestataire, qui peut créer lui-même le visuel quand ce n'est pas une agence qui s'en charge, et celle des conducteurs payés au mois (Carlogo, Movin'Pub). Parfois, les conducteurs louent la voiture au prestataire (Upskin, Libertydrive). Donc ce phénomène est en train de se répandre de plus en plus et devient une technique de publicité privilège par les annonceurs. En effet toutes les parties sont gagnantes l’annonceur voit ses pubs mobiles partout et le propriétaire du véhicule et rémunéré.
Il convient de relever qu’au sens premier du terme, le fait d’afficher est avant tout synonyme de communication au public voie d’apposition d’un écrit sur un support, et qu’il faudra attendre l’évolution des techniques d’industrialisation du papier pour que naisse l’affiche, au XVIème siècle. En effet, si certaines affiches, manuscrites, sont antérieures à l’invention de l’imprimerie, la première affiche imprimée en série fut réalisée par W. Caxton en 1477. Son objet est remarquable, puisqu’il s’agissait de vanter les mérites des eaux de Salisburry. Cette affiche, la première de l’ère de l’imprimerie, avait donc déjà un objet publicitaire.
Ce lien entre l’affichage et la promotion publicitaire ne cessera jamais de s’intensifier, avec le concours de grands artistes faisant pénétrer l’art pictural dans le discours marchand.
L’expression artistique a aujourd’hui cédé la place à une recherche effrénée de rentabilité économique, et les affiches font désormais partie intégrante de notre paysage urbain, au point que l’œil humain semble s’être habitué à cette forme d’expression moderne. Ce phénomène s’explique par la nature particulière de l’affichage parmi l’ensemble des moyens de communication mis à la disposition des publicitaires. Plus que tout autre média, l’affiche est un « média de proximité, (…) de rue », elle nous accompagne dans l’ensemble de nos déplacements quotidiens.
De la même manière que nos êtres se fondent aveuglément dans cet univers d’omniprésence publicitaire, les Juristes semblent porter bien peu d’intérêt à la réglementation de l’affichage, au point qu’il faut parfois certains signaux forts pour faire renaître jusqu’à la conscience même de son existence. Tel fut le cas de l’adoption par la ville de Marseille, le 16 décembre 2003, d’un règlement local de publicité. Les médias se sont alors exceptionnellement, et brièvement, saisis de la question de la place de l’affichage au sein de notre société, avant que le débat ne se referme, et que la réglementation de l’affichage publicitaire ne retrouve l’ombre qui la caractérise.
Théorie de la fonctionnalité (consommateur)
La théorie du consommateur est la modélisation économique du comportement d'un agent économique en tant que consommateur de biens et de services. Cette expression désigne généralement la seule théorie néoclassique du consommateur et les travaux qui en découlent.
L’Utilité cardinale et ordinale : Au sein de l'école néoclassique, un problème central de la théorie du consommateur est la construction d'une fonction de demande qui puisse être le parallèle de la fonction d'offre issue de la théorie du producteur. Cette difficulté fut résolue en deux temps, d'abord en supposant une utilité cardinale, mesurable et comparable entre les biens, puis une utilité ordinale, légèrement moins contraignante.
L’utilité cardinale : Les précurseurs de la révolution marginaliste (Walras, Jevons, Menger) concevaient l'utilité comme la sensation de plaisir associée à la consommation d'un bien. Ils défendirent l'idée d'une mesure cardinale de l'utilité en supposant que le consommateur était capable de donner une évaluation de l'utilité que lui apportait toute combinaison de biens. Cette faculté était l'exact miroir de la capacité supposée du producteur à prédire la production pour toute combinaison d'intrants donnée, et simplifiait considérablement l'analyse.
Par exemple, si la consommation d'une quantité qA d'un bien A donne une satisfaction de 100 et une quantité qB d'un bien B donne une satisfaction de 10, qA est équivalent à 10 fois qB.
L'exemple ci-dessus illustre le problème conceptuel de l'utilité cardinale : il n'existe pas d'échelle objective de la mesure de l'utilité. C'est pourquoi Vilfredo Pareto, successeur de Marshall proposa une formulation en termes d'utilité ordinale.
Dans le cadre de l'utilité ordinale, il est demandé au consommateur de pouvoir classer raisonnablement les biens ou paniers de biens en fonction de l'utilité apportée. Il lui suffit donc de savoir s'il préfère qA à qB, qB à qA ou s'il est indifférent entre les deux.
Préférences : On définit dans l'ensemble des paniers de consommation, la relation de préférence. C'est-à-dire qu'un agent peut exprimer une préférence entre deux paniers de bien.
On suppose que cette relation est :
* complète (l'agent est toujours capable de comparer deux paniers de biens).
* transitive (si l'agent préfère A à B et B à C, alors il préfère A à C).
* de comparaison (si l'agent compare les biens A et B, alors il les considère équivalents).
* de dominance (si l'agent préfère plus A à B).
* de substituabilité (si l'agent a préféré A par rapport à B à cause de la quantité, par exemple, alors il est toujours possible de rendre ce dernier indifférent de A en compensant l'insuffisance de B par un surplus de quantité)
De plus, on supposera également qu'un consommateur préfère toujours consommer plus que moins. C'est-à-dire que si on prend un panier puis qu'on augmente la quantité d'un ou plusieurs biens, alors le nouveau panier sera préféré au panier initial.
Cette hypothèse est contestable si on l'applique à des biens particuliers (une glace par exemple): on peut en effet penser que le consommateur va "saturer" au bout d'un moment et que la consommation de biens supplémentaires ne lui apporte plus de satisfaction supplémentaire. On va choisir de se placer dans un cadre de long terme (où la saturation est moins probable : l'agent risque moins de saturer s'il peut répartir sa consommation sur toute une année par exemple). Notons également au passage que la rareté est au cœur de l'analyse économique et que, par conséquent, on s'intéresse plutôt aux situations où les agents sont confrontés à cette rareté et ne peuvent s'offrir tout ce qu'ils désirent.
La Théorie de la préférence révélée propose de déduire les préférences du consommateur en observant ses choix.
Fonction d'utilité
L'utilité en économie est une mesure du bien-être ou de la satisfaction obtenue par la consommation, ou du moins l'obtention, d'un bien ou d'un service. Elle est liée à la notion de besoin.
La fonction d'utilité associe à chaque panier de consommation x un nombre u(x) tel que le panier y est préféré au panier z, si et seulement si : u(y)>u(z).Il est très important de noter que le nombre u(x) n'a de signification psychologique que pour les adhérents au courant utilitariste. Ceux-ci acceptent en effet le fait que si u(x) est deux fois plus élevé que u(y), alors cela signifie que x fournit deux fois plus de satisfaction que y (ceci est appelé "Théorie cardinale de l'utilité"). Une telle conception a été matérialisée par l'économiste autrichien Carl Menger dans ce que l'on appelle la table de Menger. Cette façon de faire a suscité de nombreuses critiques, notamment de Vilfredo Pareto, partisan d'une "Théorie ordinale de l'utilité". En effet, V. Pareto oppose à l'idée de l'utilité cardinale la notion d'une utilité subjective, propre à chaque consommateur.
Dans la théorie néo-classique du consommateur, la fonction d'utilité ne sert qu'à classer les paniers de biens en fonction des préférences du consommateur.
Enfin le vrai souci du consommateur est de maximiser son utilité sous contrainte budgétaire.
Voilà ce que dit le droit concernant la publicité automobile :
Arrêté du 28 juin 2000 relatif à l’information des consommateurs et à la publicité des prix des véhicules automobiles.
Selon le premier Article : - Les dispositions du présent arrêté s’appliquent aux véhicules automobiles neufs d’un poids total autorisé en charge ne dépassant pas 3,5 tonnes.
Art. 2. - Toute publicité comportant l’indication du prix de vente d’un véhicule, qu’elle soit effectuée sur les lieux de vente ou à l’extérieur des lieux de vente, doit mentionner la dénomination de vente du véhicule dans les conditions prévues à l’article 2 du décret du 4 octobre 1978 modifié susvisé.
Le prix annoncé des véhicules neufs hors options doit correspondre, quel que soit le support utilisé, à la somme totale toutes taxes comprises qui devra être effectivement payée par le consommateur, y compris les frais de préparation du véhicule.
Toute publicité effectuée par voie d’exposition ou de représentation d’un véhicule et accompagnée d’un prix doit indiquer le prix toutes taxes et frais de préparation compris correspondant au véhicule exposé ou représenté.
La publicité sur les prix des véhicules automobiles neufs est considérée comme satisfaisant aux dispositions de l’article L. 121-1 du code de la consommation si le prix visé au présent article est garanti hors taxe au minimum pour les trois mois à compter de la commande.
Art. 3. - Avant tout accord sur une offre, le vendeur doit remettre à l’acheteur un document d’information comportant les indications visées à l’article précédent, complétées par la date limite de livraison.
Au prix visé à l’article 2, peuvent être ajoutés les frais facultatifs correspondant à des prestations particulières expressément demandées par le consommateur et dont le montant a fait l’objet d’un accord préalable.
Le bon de commande peut tenir lieu de ce document s’il contient les indications visées ci-dessus. Il peut porter également la date à partir de laquelle l’acheteur accepte de prendre livraison.
Art. 4. - Le prix déterminé au moment de la commande est garanti jusqu’à l’expiration du délai contractuel de livraison Si la livraison n’a pas été effectuée dans le délai prévu et si le retard n’est pas imputable à l’acheteur, la garantie de prix sera prolongée jusqu’à la mise à disposition du véhicule.
Cette garantie de prix ne s’applique qu’au modèle et à la version ou déclinaison décrits par la publicité ou mentionnés sur les bons de commande ou autres documents de vente.
Le vendeur ne peut s’exonérer de cette garantie sauf :
Si l’acheteur a expressément stipulé refuser la livraison avant trois mois ;
Si une nouvelle réglementation impose des modifications techniques.
La date limite de livraison est réputée non stipulée si elle ne mentionne pas le mois de mise à disposition du véhicule. En l’absence de date précise, le véhicule est réputé devoir être livré au plus tard le quinzième jour ouvré du mois mentionné dans le document de vente.
Art. 5. - Les bons de commande ou autres documents de vente doivent indiquer :
La dénomination de vente et le prix visés à l’article 2 ;
Les équipements commandés en option et leur prix ainsi que, le cas échéant, les éventuelles prestations facultatives visées à l’article 3 et leur prix ;
La date limite de livraison visée à l’article 4 ;
La faculté pour le client d’annuler sa commande et d’exiger le remboursement des versements déjà effectués, majorés des intérêts calculés au taux légal, dans les conditions de l’article L. 114-1 du code de la consommation, si le vendeur ne peut mettre à la disposition de l’acheteur, dans les délais convenus, un véhicule tel que décrit sur le bon de commande.
Faire de l'affichage publicitaire sur des voitures, combien ça coûte ?
Aujourd’hui on constate que de plus en plus de personne affichent des publicités sur les flancs de leurs véhicule, en effet cela est devenu une tendance, et un phénomène qui se propage de plus en plus cette technique publicitaire attire l'œil et n'est pas si cher qu'on pourrait le penser. Mais cette démarche c’est le propriétaire qui la prend en effet il n’a plus besoin de passer par un constructeur automobile des sociétés se sont spécialisés dans ce domaine et le propriétaire du véhicule rentre en contact directement avec ces dernières.
Le procédé est simple : des sociétés spécialisées vont jouer le rôle d’intermédiaires entre l'annonceur et les particuliers qui sont rémunérés et qui conduiront leur propre véhicule ou le loueront au prestataire. Des adhésifs aux couleurs de l'annonceur vont habiller les portières et les faces avant et arrière des véhicules pendant la durée de la campagne. Mais quel est réellement l’avantage de cette publicité mobile ?
Les Avantages de ce média mobile : un ciblage géographique précis, un fort impact visuel et un bon taux de mémorisation.
Pour moins de 3 000 euros : le street-marketing
Réalisable partout, le street-marketing consiste à faire circuler une ou plusieurs voitures « adhésives » (voitures de collection ou autres, choisies par l'annonceur et louées par le prestataire) accompagnées d'hôtesses ou de stewards. Un plan de route prévoit des arrêts stratégiques avec distribution de tracts et animations.
Le détail des tarifs. On peut compter, pour une voiture et une hôtesse, de 1 200 à 1 500 euros la journée chez Upskin, 1 460 euros le premier jour puis 600 euros les suivants chez Movin'Pub, ou 3 000 euros pour deux jours avec deux hôtesses, en prix d'appel, chez Carlogo. (Ce sont toutes les 3 des sociétés spécialisés)
Pour moins de 7 000 euros : une campagne d'un mois sur des lunettes arrière
La société AutocreA, à Rouen, s'est spécialisée dans la pose d'adhésifs sur les lunettes arrière des voitures. L'opération est réalisable partout en France.
Le détail des tarifs de 200 à 230 euros par véhicule pour un mois (au minimum). Et de 6 000 à 6 900 euros par mois pour une flotte de trente voitures.
De 8 000 à 50 000 euros et plus : une campagne d'un mois sur des flottes importantes. La durée minimale d'une campagne sur une flotte conséquente (100 voitures à Paris) est d'un mois pour un impact satisfaisant. Le prix dépend du format d'affichage et du nombre de véhicules. Il comprend les frais techniques (fabrication, pose et dépose des adhésifs), un bilan d'action avec reportage photo, la rémunération du prestataire, qui peut créer lui-même le visuel quand ce n'est pas une agence qui s'en charge, et celle des conducteurs payés au mois (Carlogo, Movin'Pub). Parfois, les conducteurs louent la voiture au prestataire (Upskin, Libertydrive). Donc ce phénomène est en train de se répandre de plus en plus et devient une technique de publicité privilège par les annonceurs. En effet toutes les parties sont gagnantes l’annonceur voit ses pubs mobiles partout et le propriétaire du véhicule et rémunéré.
]u]L’affichage publicitaire.[/u]
Il convient de relever qu’au sens premier du terme, le fait d’afficher est avant tout synonyme de communication au public voie d’apposition d’un écrit sur un support, et qu’il faudra attendre l’évolution des techniques d’industrialisation du papier pour que naisse l’affiche, au XVIème siècle. En effet, si certaines affiches, manuscrites, sont antérieures à l’invention de l’imprimerie, la première affiche imprimée en série fut réalisée par W. Caxton en 1477. Son objet est remarquable, puisqu’il s’agissait de vanter les mérites des eaux de Salisburry. Cette affiche, la première de l’ère de l’imprimerie, avait donc déjà un objet publicitaire.
Ce lien entre l’affichage et la promotion publicitaire ne cessera jamais de s’intensifier, avec le concours de grands artistes faisant pénétrer l’art pictural dans le discours marchand.
L’expression artistique a aujourd’hui cédé la place à une recherche effrénée de rentabilité économique, et les affiches font désormais partie intégrante de notre paysage urbain, au point que l’œil humain semble s’être habitué à cette forme d’expression moderne. Ce phénomène s’explique par la nature particulière de l’affichage parmi l’ensemble des moyens de communication mis à la disposition des publicitaires. Plus que tout autre média, l’affiche est un « média de proximité, (…) de rue », elle nous accompagne dans l’ensemble de nos déplacements quotidiens.
De la même manière que nos êtres se fondent aveuglément dans cet univers d’omniprésence publicitaire, les Juristes semblent porter bien peu d’intérêt à la réglementation de l’affichage, au point qu’il faut parfois certains signaux forts pour faire renaître jusqu’à la conscience même de son existence. Tel fut le cas de l’adoption par la ville de Marseille, le 16 décembre 2003, d’un règlement local de publicité. Les médias se sont alors exceptionnellement, et brièvement, saisis de la question de la place de l’affichage au sein de notre société, avant que le débat ne se referme, et que la réglementation de l’affichage publicitaire ne retrouve l’ombre qui la caractérise.
Théorie de la fonctionnalité (consommateur)
La théorie du consommateur est la modélisation économique du comportement d'un agent économique en tant que consommateur de biens et de services. Cette expression désigne généralement la seule théorie néoclassique du consommateur et les travaux qui en découlent.
L’Utilité cardinale et ordinale : Au sein de l'école néoclassique, un problème central de la théorie du consommateur est la construction d'une fonction de demande qui puisse être le parallèle de la fonction d'offre issue de la théorie du producteur. Cette difficulté fut résolue en deux temps, d'abord en supposant une utilité cardinale, mesurable et comparable entre les biens, puis une utilité ordinale, légèrement moins contraignante.
L’utilité cardinale : Les précurseurs de la révolution marginaliste (Walras, Jevons, Menger) concevaient l'utilité comme la sensation de plaisir associée à la consommation d'un bien. Ils défendirent l'idée d'une mesure cardinale de l'utilité en supposant que le consommateur était capable de donner une évaluation de l'utilité que lui apportait toute combinaison de biens. Cette faculté était l'exact miroir de la capacité supposée du producteur à prédire la production pour toute combinaison d'intrants donnée, et simplifiait considérablement l'analyse.
Par exemple, si la consommation d'une quantité qA d'un bien A donne une satisfaction de 100 et une quantité qB d'un bien B donne une satisfaction de 10, qA est équivalent à 10 fois qB.
L'exemple ci-dessus illustre le problème conceptuel de l'utilité cardinale : il n'existe pas d'échelle objective de la mesure de l'utilité. C'est pourquoi Vilfredo Pareto, successeur de Marshall proposa une formulation en termes d'utilité ordinale.
Dans le cadre de l'utilité ordinale, il est demandé au consommateur de pouvoir classer raisonnablement les biens ou paniers de biens en fonction de l'utilité apportée. Il lui suffit donc de savoir s'il préfère qA à qB, qB à qA ou s'il est indifférent entre les deux.
Préférences : On définit dans l'ensemble des paniers de consommation, la relation de préférence. C'est-à-dire qu'un agent peut exprimer une préférence entre deux paniers de bien.
On suppose que cette relation est :
* complète (l'agent est toujours capable de comparer deux paniers de biens).
* transitive (si l'agent préfère A à B et B à C, alors il préfère A à C).
* de comparaison (si l'agent compare les biens A et B, alors il les considère équivalents).
* de dominance (si l'agent préfère plus A à B).
* de substituabilité (si l'agent a préféré A par rapport à B à cause de la quantité, par exemple, alors il est toujours possible de rendre ce dernier indifférent de A en compensant l'insuffisance de B par un surplus de quantité)
De plus, on supposera également qu'un consommateur préfère toujours consommer plus que moins. C'est-à-dire que si on prend un panier puis qu'on augmente la quantité d'un ou plusieurs biens, alors le nouveau panier sera préféré au panier initial.
Cette hypothèse est contestable si on l'applique à des biens particuliers (une glace par exemple): on peut en effet penser que le consommateur va "saturer" au bout d'un moment et que la consommation de biens supplémentaires ne lui apporte plus de satisfaction supplémentaire. On va choisir de se placer dans un cadre de long terme (où la saturation est moins probable : l'agent risque moins de saturer s'il peut répartir sa consommation sur toute une année par exemple). Notons également au passage que la rareté est au cœur de l'analyse économique et que, par conséquent, on s'intéresse plutôt aux situations où les agents sont confrontés à cette rareté et ne peuvent s'offrir tout ce qu'ils désirent.
La Théorie de la préférence révélée propose de déduire les préférences du consommateur en observant ses choix.
Fonction d'utilité
L'utilité en économie est une mesure du bien-être ou de la satisfaction obtenue par la consommation, ou du moins l'obtention, d'un bien ou d'un service. Elle est liée à la notion de besoin.
La fonction d'utilité associe à chaque panier de consommation x un nombre u(x) tel que le panier y est préféré au panier z, si et seulement si : u(y)>u(z).Il est très important de noter que le nombre u(x) n'a de signification psychologique que pour les adhérents au courant utilitariste. Ceux-ci acceptent en effet le fait que si u(x) est deux fois plus élevé que u(y), alors cela signifie que x fournit deux fois plus de satisfaction que y (ceci est appelé "Théorie cardinale de l'utilité"). Une telle conception a été matérialisée par l'économiste autrichien Carl Menger dans ce que l'on appelle la table de Menger. Cette façon de faire a suscité de nombreuses critiques, notamment de Vilfredo Pareto, partisan d'une "Théorie ordinale de l'utilité". En effet, V. Pareto oppose à l'idée de l'utilité cardinale la notion d'une utilité subjective, propre à chaque consommateur.
Dans la théorie néo-classique du consommateur, la fonction d'utilité ne sert qu'à classer les paniers de biens en fonction des préférences du consommateur.
Enfin le vrai souci du consommateur est de maximiser son utilité sous contrainte budgétaire.
Souley- Messages : 15
Date d'inscription : 16/12/2010
Re: PARTIE DE SOULEY
Jolis pavés mec!
Eh j'ai un titre pour ton film : "Indeependance Day". Tu me diras si t'as compris demain
Eh j'ai un titre pour ton film : "Indeependance Day". Tu me diras si t'as compris demain
Manu- Messages : 35
Date d'inscription : 14/12/2010
Age : 33
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